Vous avez entendu parler du cheat meal et l’idée d’égratigner votre régime alimentaire de temps à autre vous titille ? Découvrez les vertus de ce repas spécial et les précautions à appliquer pour en profiter pleinement !
Qu’est-ce qu’un cheat meal ?
Les amateurs de sport d’endurance et de body building connaissent bien ce principe. Le cheat meal est un « repas triche » durant lequel on s’autorise des écarts habituellement proscrits. L’objectif ? Relancer le métabolisme et les performances tout en reboostant le moral. On fait le point.
Comment fonctionne un repas libre ?
Cheat meal, repas triche, repas libre, le principe reste le même. Quand l’organisme est soumis à un régime hypocalorique, il finit par s’y habituer et par ne plus progresser. La fonte des graisses et le niveau de performance commencent alors à stagner. C’est là qu’un cheat meal prend tout son sens. En recevant une dose calorique explosive, le corps relance la combustion du gras.
Quand programmer un repas triche ?
Le bon moment pour caler un cheat meal se repère à plusieurs signes :
– la fatigue s’intensifie,
– les graisses peinent à fondre,
– on se sent moins motivé,
– on se sent moins fort,
– les séances semblent de plus en plus difficiles.
Cheater : oui mais pas n’importe comment !
Quand on respecte et que l’on aime son corps, on en prend soin jusqu’au bout. Pour cheater propre, autant zapper la nourriture industrielle de piètre qualité pour s’accorder des déclinaisons home made healthy. Et parce que rien ne vaut l’illustration, voici quelques exemples pour inspiration :
– on remplace les pâtes blanches par des pâtes complètes façon bolognaise (viande achetée chez le boucher, coulis de tomates bio fraîches) ou carbonara (aux œufs frais et aux lardons artisanaux !),
– on décline le hamburger indus en version maison avec du pain aux céréales complètes et des produits de qualité,
– on oublie la pizza toute prête et on s’accorde une prépa veggie généreusement recouverte de légumes croquants de saison et de fromage frais,
– on se régale avec des energy balls qui remplacement avantageusement les barres céréalières du commerce (elles sont généralement bourrées de sucre).
A noter : attention à ne pas programmer plus d’un cheat meal par semaine et à ne pas perdre de vue qu’un repas triche n’est en aucun cas une journée triche ! A bon entendeur… good cheat!
Crédit photo : Freepik – Textes : Skom.
Auteur : Séverine